Phrase Culte de Kill Bill
Dans Kill Bill 1 et 2, Tarantino joue avec les codes du Western spaghetti, du film japonais et bien d’autres clichés. Cela donne deux films truculents, assez noirs, truffés de bons mots comme par exemple « Je suis sans pitié, sans scrupule, sans compassion, sans indulgence, pas sans intelligence » ou « ça doit faire mal de se retrouver avec du gros sel dans les seins » ou encore « J’aime beaucoup le mot « gargantuesque », on n’a pas souvent l’occasion de le placer dans une conversation ». Pour vous remettre dans l’ambiance, voici une liste d’une bonne vingtaine de phrases cultes, à savourer avec ou sans la bande son !
Top 27 phrase culte de Kill Bill:
27: – Qu’est-ce que tu fais ici ?
– Là, je bois des yeux la plus magnifique créature qu’il m’ait été donné de voir.
26: Tu me trouves sadique ? Là tu me vois dans le masochisme le plus profond.
25: Je tenais pas à faire ça devant toi, je suis vraiment désolée, mais crois-moi, ta mère l’avait vraiment mérité.
24: Et ça c’est pour les vilains garçons qui traînent avec les Yakuzas, retourne chez ta mère !
23: La vengeance est un plat qui se mange froid. Vieux proverbe Klingon.
22: C’est vrai que je ne t’ai jamais porté dans mon coeur. Pour tout te dire, j’ai même la haine contre toi.
21: Ah ah ah ! Tu appelles ça supplier ? Supplie mieux que ça !
20: Quand je me suis réveillée… j’ai agi comme on l’annonçait, une destructrice hurlant sa soif de revanche. J’ai hurlé, j’ai détruit, et j’ai obtenu une énorme satisfaction. J’ai tué un sacré paquet de gens pour en arriver à ce point. Maintenant il n’en reste plus qu’un, le dernier. Celui vers lequel je conduis à l’instant même. Le dernier qui reste… et quand j’arriverai à ma destination, je tuerai Bill.
19: Cette femme a le droit de se venger. Et… nous méritons de mourir.
18: Ca doit faire mal de se retrouver avec du gros sel dans les seins.
17: – Tu as vendu un Hatori Henzo ? Mais ça n’a pas de prix.
– Ben à El Paso, y’a quelques années ils m’en ont donné 200 dollars.
16: En fait, elle était pas si maligne que ça… Juste un peu plus que la moyenne des blondes…
15: – Je vais te tuer avec ton katana, qui dans un avenir très proche, sera à moi !
– Pauvre conne, tu n’as aucun avenir…
14: – Si on m’avait dit il y a un peu plus de cinq ans ce qui allait m’arriver, je n’y aurais pas cru une seconde. J’ai été naïve ?
– C’était une question ? Si tu veux une réponse, oui tu étais naïve de croire que je ne pouvais pas faire ça.
– Que tu étais capable de faire tout ça, je n’en ai jamais douté. Mais que tu puisses me faire ça à moi …
13: Comme tu le sais, je suis un fan de BD. Mon super héros préféré, Superman, diffère des autres en ce sens qu’il n’a pas à mettre un costume pour être Superman. Quand il se réveille le matin, il est Superman. Alors que Spiderman doit mettre un costume. Clark Kent, c’est pour donner le change, il montre comment Superman voit les hommes : faibles, lâches. Clark Kent est la critique que Superman fait de toute l’humanité.
12: J’aime beaucoup le mot « gargantuesque », on n’a pas souvent l’occasion de le placer dans une conversation.
11: Pai Mei t’a enseigné les 5 coups et la paume qui tuent ! Pourquoi ne me l’as-tu pas dit ?
10: La lionne a retrouvé sa petite. Le calme revient dans la jungle.
9: Rien qu’en voyant ces escaliers j’en ai mal… Enfin tu vas voir, tu vas bien t’amuser ma grande !
8: Vilain petit lapin, qui voulait faire le… malin !
7: Je suis infirmier et je suis venu te fourrer !
6: Par chance, Boss Matsumuto était pédophile.
5: Je le fais car symboliquement, je sympathise avec votre quête. Je le dis sans vanité, c’est le plus beau sabre de ma carrière. Si en chemin vous rencontriez Dieu, il serait taillé en pièces.
4: Il n’y a rien de plus beau qu’un ego meurtri sur le visage d’un ange.
3: Quand tu seras grande, si tu éprouves encore de la haine pour moi, tu me trouveras.
2: Buck ça rime avec Fuck.
1: Je suis sans pitié, sans scrupule, sans compassion, sans indulgence, pas sans intelligence.
Dans les opus de Tarantino, le verbe est souvent teinté de violence et d’humour, et le récit déphasé, au moins autant que les personnages d’ailleurs. Kill bill n’échappe pas à la règle : l’esthétique des prises de vue rejoint la virtuosité d’une bande son impeccable. Car chez le Maître, tout est matière à sublimer le 7ème art…