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Phrase Culte dans le Bon la Brute Et le Truand

Qui n’a jamais entendu parlé de ce western mythique « Le bon, la brute et le truand » de Sergio Leone, sorti en 1966. Malgré ce sarcasme manifeste, ce style de film sera amplement plébiscité et reconnu en partie grâce à la qualité de cette fiction germano-hispano-iltalien. C’est Sergio Leone qui insuffle une nouvelle jeunesse à cette catégorie en mettant remarquablement en scène Clint Eastwood, Lee Van Cleef et Eli Wallach. Cette épopée légendaire a laissé incontestablement 19 phrases cultes qui illustrent parfaitement l’état d’esprit et l’ambiance du film. En voici un exemple :  » Eh ben ! J’avais encore jamais vu crever autant de monde ».

Top 19 phrase culte dans le bon la brute et le truand:

19: Tu te crois meilleur que moi. Mais dans ce pays, Pablo, si on ne veut pas mourir de faim, il faut faire ou le moine [montre Pablo du doigt] ou le bandit [se montre du doigt].

18: D’où il sort celui-là ? Dès qu’un cocu s’en va, il en arrive un autre.

17: Je suis à la recherche d’une moitié de cigare plantée dans la bouche d’un grand fils de chienne, un type blond et qui parle peu.

16: Attache bien la corde à la poutre, il faut qu’elle supporte le poids d’un gros saligaud.

15: Les gros comme toi, ça m’a toujours fait rigoler, parce que quand ça dégringole, ça fait un de ces boucans !

14: Le monde se divise en deux catégories : ceux qui passent par la porte et ceux qui passent par la fenêtre.

13: Je vais dormir tranquille, parce que je sais maintenant que mon pire ennemi veille sur moi.

12: Tenez, buvez une goutte de ça, et ouvrez bien grande vos oreilles, on va faire un peu de pétards.

11: Dieu n’est pas avec nous et il déteste les corniauds de ton genre !

10: Mais si tu manques la corde, ne manques pas le pendu. Celui qui me fait une entourloupette et me laisse la vie sauve, c’est qu’il a rien compris au Senor Tuco, non rien… Hahahaha !

9: Si on travaille pour gagner sa vie, pourquoi se tuer au travail ?

8: Je finis toujours le travail pour lequel on me paie.

7: – Tu, tu veux rigoler, hein Blondin, tu veux me faire une farce avoue le hein ?!

– Ça c’est pas une farce c’est une corde. Dépêches toi de passer ta tête là-dedans Tuco.

6: Eh ben ! J’avais encore jamais vu crever autant de monde.

5: Tu vois, le monde se divise en deux catégories, ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent. Toi tu creuses.

4: – Blondin, c’est une farce ?

– C’est pas une farce, c’est une corde.

3: Quand on tire, on raconte pas sa vie.

2: – Dis donc toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars !

– Oui… Mais toi tu n’as pas la tête de celui qui les encaissera.

1: – Le monde se divise en deux mon ami, ceux qui ont la corde au cou et ceux qui la leur coupe… Oui seulement celui qu’a la corde cou c’est moi, moi je risque gros, c’est pourquoi la prochaine fois j’veux plus de la moitié !

– Mmhhh, oui tu as la corde au cou, mais moi je tire, et si tu me rogne mon pourcentage – cigare ? – qui sait, il peut arriver qu’je rate mon coup mmhh ?

En résumé, trois as de la gâchette à la recherche d’un chargement d’or disparu pendant la guerre de Sécession, voici le décor et le fil conducteur de cette aventure burlesque et pleine d’action. Le bon, la brute et le truand, trois personnages fictifs à la langue bien pendue.

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