Phrase Culte dans le Cercle des Poètes Disparus
Plongez dans Le Cercle des poètes disparus avec 27 phrases cultes qui vous feront vous souvenir de ce film comme si vous veniez de le revoir. De son nom original Dead Poets Society, c’est une production américaine qui met en scène un jeune garçon qui va découvrir une nouvelle façon de vivre et de penser grâce à son professeur de lettres, John Keating, interprété par Robin Williams. Celui-ci est d’ailleurs souvent caractérisé par cette simple citation : « Je monte sur mon bureau pour ne pas oublier qu’on doit s’obliger sans cesse à tout regarder sous un angle différent. », qui nous pousse à explorer chaque possibilité avant d’affirmer.
Top 31 phrase culte dans le Cercle des poètes disparus:
27: Je ne vis pas pour être un esclave mais le souverain de mon existence.
26: Je monte sur mon bureau pour ne pas oublier qu’on doit s’obliger sans cesse à tout regarder sous un angle différent. [John Keating]
25: Dès qu’on croit savoir quelque chose messieurs, il faut l’observer sous un autre point de vue, même si ça paraît inutile, bête… il faut essayer. Quand vous lisez, ne laissez pas l’auteur décidez pour vous. Non, c’est à vous de décider. Trouvez votre propre voix, mais il ne faut pas attendre qu’il soit trop tard mes amis. Plus vous tarderez, moins votre voix pourra se faire entendre. [John Keating]
24: C’est dans ses rêves que l’homme trouve la liberté, cela fut, est, et restera la vérité. [John Keating]
23: Monsieur Nola… c’est pour vous : c’est Dieu !! Il exige qu’il y ait des filles à Welton.
22: Osez ! Allez à la conquête de terre vierge ! [John Keating]
21: Parce que nous sommes de l’engrais pour vers de terre. Parce que -pensez ce que vous voulez- mais personne n’en réchappe. Tous autant que nous sommes, nous cesserons de respirer, nous nous refroidirons et nous mourrons. [John Keating]
20: Le chat a quat’ papattes.
19: Et être enfin Dieu !
18: Y en a marre Neil… J’m’appelle Nouanda.
17: La vérité c’est comme une couverture trop petite. Tu peux tirer dessus de tous les côtés, tu auras toujours les pieds froids.
16: De l’excrément : c’est tout ce que vaut Monsieur J. Evans Pritchard. Il ne s’agit pas de mesurer de la tuyauterie !
15: Neil Perry : Meeks tu marches ?
Steven Meeks : J’suis prêt à tout essayer !
Charlie Dalton : Sauf les filles !
14: Allô, collège Welton, j’écoute. Oui, il est ici, ne quittez pas. M. Nolan, c’est pour vous. C’est le bon Dieu : il est d’accord pour les filles à Welton.
13: – Le langage s’est surtout développé pour un motif ; quel est-il, M. Anderson ? Êtes-vous un homme ou une amibe…? M. Perry ?
– Pour communiquer ?
– Non ! Pour courtiser les femmes !
12: À présent dans cette classe, vous apprendrez à penser par vous-même, vous apprendrez à savourer les mots et le langage !
11: C’est instinctif, nous recherchons l’approbation. Mais il faut vous assurer que vos convictions sortent de ce qu’il y a de plus personnel en vous, même si les moutons bêlent et se choquent, même si on vous dit que vous faites fausse route, que c’est mal. C’est Frost qui a dit : « Dans la forêt, le chemin se sépare en deux, et là, je choisis toujours le moins fréquenté, et chaque fois je constate la différence. »
10: Sucez la moelle de la vie mais n’avalez pas l’os.
9: Oh capitaine, mon capitaine !
8: On ne lit pas et on n’écrit pas de la poésie parce que ça fait joli. Nous lisons et nous écrivons de la poésie parce que nous faisons partie de la race humaine ; et que cette même race foisonne de passions. La médecine, la loi, le commerce et l’industrie sont de nobles occupations, et nécessaires pour la survie de l’humanité. Mais la poésie, la beauté et le dépassement de soi, l’amour : c’est tout ce pour quoi nous vivons. Écoutez ce que dit Whitman : « Ô moi ! Ô vie !… Ces questions qui me hantent, ces cortèges sans fin d’incrédules, ces villes peuplées de fous. Quoi de bon parmi tout cela ? Ô moi ! Ô vie ! ». Réponse : que tu es ici, que la vie existe, et l’identité. Que le spectacle continue et que tu peux y apporter ta rime. Que le spectacle continue et que tu peux y apporter ta rime… Quelle sera votre rime ?
7: Je partis dans les bois parce que je voulais vivre sans me hâter. Vivre intensément et sucer toute la moelle secrète de la vie.
6: Je ne vis pas pour être un esclave mais le souverain de mon existence.
5: Et ne pas, quand viendra la vieillesse, découvrir que je n’avais pas vécu.
4: Carpe diem !
3: Peu importe ce qu’on pourra vous dire, les mots et les idées peuvent changer le monde.
2: C’est dans ses rêves que l’homme trouve la liberté, cela fut, est, et restera la vérité.
1: Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie.
Le Cercles des poètes disparus fut un immense succès dans le monde entier, si bien qu’il fut nominé et récompensé plusieurs fois. Ce drame américain tourne autour de la capacité à penser, apprendre et vivre librement, sans contraintes, en ayant une approche sensible de la poésie d’après le célèbre « Carpe Diem ».